Bollinger 

Aÿ

Jeune vendeur allemand, Joseph Bollinger avait été engagé en 1829 par Emmanuel de Villermont dont il épousa la fille en 1837 avant d’en hériter du vignoble trois ans plus tard.

Près de deux siècles plus tard, les descendants de la famille détiennent les postes clés et maintiennent une solide tradition de qualité. La maison dispose d’un domaine viticole de tout premier ordre qui lui permet de couvrir à 70% ses besoins en raisins, les approvisionnements des 30% restants étant assurés par de solides contrats à long terme. S’appuyant sur le pinot noir qui donne l’âme de ses vins avec une vinosité aisément reconnaissable, la maison propose des millésimés de très grande qualité, même en vieux millésimes par ses RD (récemment dégorgés).

Cheval de bataille de la maison, la cuvée spéciale est un assemblage de tout premier ordre et révèle une régularité sans faille, grâce à la conservation en magnum des vins de réserve : son gras et sa puissance la destine à la table.

Sous l’autorité de Jérôme Philipon, la maison a sorti pour la première fois de son histoire un champagne rosé non millésimé. Une cuvée nouvelle qui a demandé pas moins de 10 ans pour fixer son style et son élaboration. Source : lefigaro.fr


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Jeroboam


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